Salut les amis,

Franchement, je suis un peu paniqué. Vous voyez, j’ai toujours été du genre à économiser, à mettre de côté “pour les jours difficiles”. Mais là, avec cette inflation qui n’en finit plus de grimper, j’ai l’impression que mes économies… bah, elles fondent. Comme une glace au soleil, quoi. Pff, quel bazar !

C’est un peu comme regarder le niveau de l’eau monter pendant une inondation, sauf que là, c’est le pouvoir d’achat qui dégringole. Et moi, je reste là, les bras ballants, à me demander comment protéger ce que j’ai mis tant de temps à accumuler. Étais-je le seul à me sentir ainsi ? Probablement pas.

Alors, après pas mal de recherches (et quelques nuits blanches à lire des articles financiers – passionnant, vous trouvez ?), j’ai trouvé quelques pistes. Des trucs qui, je l’espère, vont me permettre de dormir un peu mieux et surtout, de préserver (et même faire fructifier, soyons fous!) mon argent. Je vous partage ça, hein, parce qu’on est entre amis. Et parce que si ça peut vous aider aussi, tant mieux!

Comment l’inflation grignote sournoisement votre épargne (et pourquoi il faut réagir !)

On en entend parler tout le temps, de l’inflation. Mais concrètement, ça veut dire quoi ? Eh bien, c’est simple : c’est la hausse généralisée des prix. Ce qui coûtait 100€ hier, coûte 105€ aujourd’hui (c’est un exemple, bien sûr, ça dépend des produits et des services). Du coup, avec la même somme d’argent, on achète moins de choses. C’est ça, la perte de pouvoir d’achat.

Et le pire, c’est que l’inflation a tendance à s’auto-alimenter. Les entreprises augmentent leurs prix pour compenser la hausse de leurs coûts, ce qui entraîne une nouvelle hausse des prix pour les consommateurs… et ainsi de suite. Un cercle vicieux, quoi.

Le truc marrant (enfin, pas si marrant que ça), c’est que les taux d’intérêt sur les livrets d’épargne, eux, ont souvent du mal à suivre le rythme de l’inflation. Résultat : l’argent que vous avez mis de côté, censé vous rapporter des intérêts, perd en réalité de la valeur. C’est ça qui est frustrant ! J’ai eu l’impression de me faire avoir… gentiment, mais quand même.

D’où l’importance de trouver des alternatives d’investissement qui permettent de battre l’inflation. C’est le défi que je me suis lancé, et je vais vous dire, c’est pas une mince affaire. Mais pas impossible!

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Option n°1 : L’immobilier, la valeur refuge (mais attention aux pièges!)

L’immobilier, c’est souvent présenté comme la valeur refuge par excellence. Et c’est vrai que, historiquement, les prix de l’immobilier ont plutôt bien résisté à l’inflation, voire ont même tendance à augmenter en période d’inflation. Le problème, c’est que ce n’est pas si simple.

Investir dans la pierre, ça peut prendre différentes formes. On peut acheter un appartement ou une maison pour le louer, on peut investir dans des SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobilier) qui gèrent un parc immobilier et versent des loyers aux associés, ou encore investir dans des foncières cotées en bourse. Chaque option a ses avantages et ses inconvénients.

Par exemple, acheter un bien pour le louer, c’est un investissement qui demande du temps et de l’énergie. Il faut trouver le bien, s’occuper des travaux, gérer les locataires… Sans parler des risques de vacance locative (quand le logement est vide) ou d’impayés. C’est pas toujours une sinécure, croyez-moi !

Les SCPI, c’est plus simple, car on délègue la gestion à une société spécialisée. Mais il faut bien choisir sa SCPI, car toutes ne se valent pas. Certaines sont plus exposées à certains secteurs (comme les bureaux), qui peuvent être plus risqués en période de crise économique. Et puis, il y a des frais de gestion à prendre en compte.

Quant aux foncières cotées, c’est encore plus simple, car on achète des actions en bourse. Mais c’est aussi plus risqué, car le cours des actions peut fluctuer en fonction des marchés financiers. Bref, l’immobilier, c’est pas toujours une promenade de santé! Faut bien réfléchir avant de se lancer. J’ai failli faire une grosse erreur en achetant un appartement mal situé, heureusement que mon ami Pierre m’a mis en garde.

Option n°2 : Les actions, le potentiel de rendement (mais avec le risque qui va avec!)

Les actions, c’est un peu comme jouer à la roulette. On peut gagner gros, mais on peut aussi tout perdre. C’est pour ça que beaucoup de gens ont peur d’investir en bourse. Et c’est vrai que c’est pas un investissement sans risque.

Mais sur le long terme, les actions ont tendance à surperformer les autres classes d’actifs. C’est-à-dire qu’elles rapportent plus que les obligations, l’immobilier ou les livrets d’épargne. Pourquoi ? Parce que les entreprises, elles, sont censées croître et générer des profits. Et ces profits, ils sont redistribués aux actionnaires sous forme de dividendes.

Investir en actions, ça peut se faire de différentes manières. On peut acheter des actions directement en bourse, on peut investir dans des fonds d’investissement (SICAV ou FCP) qui gèrent un portefeuille d’actions, ou encore investir dans des ETF (Exchange Traded Funds), qui sont des fonds indiciels cotés en bourse.

Le plus simple, c’est d’investir dans des ETF. Ce sont des fonds qui répliquent un indice boursier, comme le CAC 40 ou le S&P 500. Ça permet de diversifier son investissement, c’est-à-dire de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier. Et c’est aussi moins cher que d’acheter des actions directement en bourse. Perso, j’utilise une application, euh… je crois que c’est Degiro.

Après, il faut quand même être conscient des risques. Les marchés boursiers peuvent être très volatils, c’est-à-dire qu’ils peuvent monter et descendre très rapidement. Et en période de crise économique, les actions peuvent chuter de manière spectaculaire. J’ai complètement raté en vendant trop tôt en 2023… Aïe !

Donc, si vous investissez en actions, il faut être prêt à accepter une certaine dose de risque. Et surtout, il faut investir sur le long terme. Ne pas paniquer à la première baisse et ne pas vendre ses actions au plus bas. C’est le meilleur moyen de perdre de l’argent.

Option n°3 : Les matières premières, un rempart contre l’inflation (mais attention à la spéculation!)

Les matières premières, c’est un peu le parent pauvre des investissements. On en parle moins que l’immobilier ou les actions. Et pourtant, elles peuvent être un bon rempart contre l’inflation.

Pourquoi ? Parce que les prix des matières premières ont tendance à augmenter en période d’inflation. Quand les prix augmentent, les entreprises ont besoin de plus de matières premières pour produire les mêmes quantités de biens et de services. Et cette demande accrue fait monter les prix.

On peut investir dans différentes matières premières : l’or, l’argent, le pétrole, le gaz, le cuivre, le blé… Chaque matière première a ses propres caractéristiques et ses propres facteurs d’influence.

L’or, c’est souvent considéré comme la valeur refuge par excellence. En période de crise économique ou d’incertitude politique, les investisseurs se ruent sur l’or, ce qui fait monter son prix. Mais l’or ne rapporte pas d’intérêts. C’est juste une protection contre la perte de valeur de la monnaie.

Le pétrole, c’est une matière première essentielle pour l’économie mondiale. Son prix est influencé par l’offre et la demande, mais aussi par les tensions géopolitiques. Investir dans le pétrole, c’est un peu spéculer sur l’avenir de l’économie mondiale.

On peut investir dans les matières premières de différentes manières. On peut acheter de l’or physique (pièces ou lingots), on peut investir dans des fonds d’investissement spécialisés dans les matières premières, ou encore investir dans des ETF qui répliquent un indice de matières premières. Perso, je n’ai pas encore sauté le pas. C’est un domaine que je trouve encore un peu obscur.

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Attention, les matières premières peuvent être très volatiles. Leur prix peut fluctuer de manière importante en fonction de l’offre et de la demande, mais aussi des événements géopolitiques. Donc, si vous investissez dans les matières premières, il faut être prêt à accepter une certaine dose de risque. Et surtout, il faut bien se renseigner avant de se lancer.

Conclusion (provisoire) : Protéger son argent, c’est un combat de tous les jours!

Voilà, je vous ai partagé mes réflexions et mes pistes pour lutter contre l’inflation. Je ne prétends pas avoir la science infuse, hein. Je suis juste un particulier qui essaie de se débrouiller dans un contexte économique difficile.

Le truc, c’est qu’il n’y a pas de solution miracle. Chaque investissement a ses avantages et ses inconvénients. Et ce qui convient à l’un ne convient pas forcément à l’autre. Il faut trouver ce qui correspond à son profil de risque, à ses objectifs et à ses moyens.

Mais ce qui est sûr, c’est qu’il faut agir. Ne pas rester les bras croisés à regarder son argent fondre comme neige au soleil. Il faut se bouger, se renseigner, diversifier ses investissements et être prêt à prendre quelques risques (mesurés, bien sûr!).

Et surtout, il faut garder la tête froide. Ne pas paniquer à la première baisse et ne pas se laisser emporter par l’euphorie à la première hausse. Investir, c’est un marathon, pas un sprint.

Alors, prêts à relever le défi? Moi, j’y crois! Et si tu es aussi curieux que moi, tu pourrais vouloir explorer le sujet des cryptomonnaies… Qui sait ce qui va suivre?

N’hésitez pas à partager vos propres astuces et réflexions dans les commentaires. On est là pour s’entraider, non?

À bientôt!

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