Sốc ! Argent qui s’envole : ces erreurs de gestion qui vous ruinent !

L’argent, ce fantôme : où est-il passé ?

Franchement, il y a des jours où je me demande si mon compte en banque n’est pas victime d’une sorte de trou noir financier. Tu sais, cette sensation que l’argent rentre, certes, mais qu’il disparaît à une vitesse folle, sans qu’on comprenne vraiment où il est passé. C’est un peu comme chercher ses clés le matin : on est sûr de les avoir posées quelque part, mais impossible de remettre la main dessus. Sauf que là, c’est avec l’argent. C’est pas pareil. Et c’est bien plus stressant.

Je me souviens d’une fois, c’était juste après avoir reçu ma paie. Je me suis dit : “Cette fois, je vais faire attention, je vais établir un budget, je vais maîtriser mes dépenses.” Tu parles ! Une semaine plus tard, j’étais déjà à découvert, avec une vague impression d’avoir dépensé sans compter. Le truc marrant (enfin, pas si marrant que ça), c’est que j’étais incapable de dire précisément où était passé tout cet argent. Restaurants ? Shopping impulsif ? Abonnements inutiles ? Un peu de tout ça, probablement. Pff, quel bazar !

Mais le pire, c’est de se sentir impuissant face à ce phénomène. On a l’impression que l’argent nous glisse entre les doigts, qu’on n’a aucun contrôle sur nos finances. Et ça, c’est vraiment démoralisant. Alors, je me suis dit : “Stop ! Il faut que je comprenne ce qui se passe, que je trouve des solutions pour reprendre le contrôle de mon argent.” Et c’est ce que je vais partager avec toi aujourd’hui. Parce que, soyons honnêtes, je suis sûr que je ne suis pas le seul dans cette situation. Qui sait ce qui va suivre ?

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Le budget, cet ennemi… ou pas ?

Alors, la première chose que j’ai faite, c’est essayer de me plonger dans la création d’un budget. Oui, je sais, ça sonne un peu barbant comme ça. Mais franchement, c’est un peu comme faire le ménage : c’est pas toujours agréable, mais on se sent tellement mieux après ! Le truc, c’est que j’ai toujours eu une aversion pour les budgets. Je trouve ça contraignant, restrictif. J’ai l’impression qu’on se prive de tout plaisir.

Du coup, j’ai essayé différentes approches. La première fois, j’ai opté pour un truc hyper détaillé, avec des catégories de dépenses ultra précises : “Loisirs”, “Restaurants”, “Shopping”, “Transports”, etc. Résultat : j’ai abandonné au bout de deux jours. Trop compliqué, trop chronophage. J’avais l’impression de passer ma vie à traquer le moindre centime. Pas du tout mon truc.

Ensuite, j’ai testé une approche plus simplifiée, avec seulement quelques grandes catégories : “Logement”, “Nourriture”, “Transports”, “Loisirs”, “Epargne”. C’était déjà mieux, mais j’avais encore du mal à m’y tenir. Je pense que le problème, c’est que je me fixais des objectifs trop ambitieux. Du genre : “Je vais diviser mes dépenses de loisirs par deux !” Autant dire que c’était voué à l’échec. Franchement, qui peut tenir ce genre d’objectif ?

Et puis, un jour, j’ai trouvé une méthode qui me correspondait un peu plus. Au lieu de me fixer des limites strictes, je me suis simplement fixé un objectif d’épargne mensuel. Le reste, je le gérais comme je voulais. L’idée, c’était de me concentrer sur le positif : “Je vais épargner tant d’euros ce mois-ci”, plutôt que de me focaliser sur le négatif : “Je ne dois pas dépenser plus de tant d’euros dans tel domaine”. Et bizarrement, ça a mieux marché. Peut-être parce que ça me laissait plus de liberté et que je me sentais moins frustré.

Abonnements : le piège sournois

Un autre truc qui m’a pas mal plombé, ce sont les abonnements. Netflix, Spotify, Amazon Prime, salle de sport… La liste est longue. Et le pire, c’est qu’on a souvent l’impression que ce n’est pas grand-chose, quelques euros par-ci, quelques euros par-là. Mais au final, ça représente une somme considérable à la fin du mois.

Je me souviens d’une époque où j’étais abonné à une salle de sport que je n’ai fréquentée qu’une seule fois. Une seule fois ! Et pendant ce temps-là, je continuais à payer mon abonnement, mois après mois, sans même m’en rendre compte. C’est fou, non ? On s’habitue tellement à ces prélèvements automatiques qu’on finit par ne plus y faire attention. Et c’est là que le piège se referme.

Alors, ce que j’ai fait, c’est que j’ai passé en revue tous mes abonnements. J’ai regardé ce que j’utilisais réellement, ce qui était vraiment indispensable, et ce qui ne l’était pas. Et j’ai été surpris de voir le nombre d’abonnements que j’avais complètement oubliés, ou que je n’utilisais plus. J’ai résilié tout ce qui n’était pas essentiel, et ça m’a permis d’économiser une somme non négligeable chaque mois. Wow, je ne m’attendais pas à ça !

Le truc marrant, c’est que j’ai même découvert que j’étais abonné à deux services de streaming musical en même temps. Je ne sais pas comment j’ai fait pour ne pas m’en rendre compte avant. C’est dire à quel point on peut être distrait quand il s’agit de nos finances. Mais bon, l’important, c’est d’en prendre conscience et de réagir. Et toi, tu as fait le point sur tes abonnements récemment ?

Achats compulsifs : le démon qui sommeille en nous

Ah, les achats compulsifs… Un sujet sensible. Parce que, soyons honnêtes, qui n’a jamais craqué pour un truc inutile, juste parce que c’était joli, ou parce que c’était en promotion ? Moi, le premier. Je suis un peu comme un aimant à “bonnes affaires”. Il suffit que je voie une étiquette “50% de réduction” et je suis foutu. Je me dis : “C’est une occasion à ne pas manquer !” Même si je n’ai absolument pas besoin de l’objet en question.

Le pire, c’est que je sais pertinemment que la plupart de ces achats finissent par prendre la poussière au fond d’un placard. Mais je n’arrive pas à m’empêcher de craquer. C’est un peu comme une addiction. Il y a une petite voix dans ma tête qui me dit : “Vas-y, fais-toi plaisir ! Tu le mérites bien !” Et je finis par céder. Et après, je culpabilise. C’est un cercle vicieux.

Alors, j’ai essayé différentes techniques pour lutter contre ces achats compulsifs. La première, c’est de me poser la question : “Est-ce que j’ai vraiment besoin de ça ?” Avant d’acheter quoi que ce soit, je prends le temps de réfléchir. Est-ce que cet objet va vraiment améliorer ma vie ? Est-ce que je vais l’utiliser régulièrement ? Ou est-ce que c’est juste un caprice passager ?

Une autre technique que j’utilise, c’est de me fixer une règle : “Pas d’achat impulsif sans un délai de réflexion de 24 heures”. Si j’ai envie d’acheter quelque chose, je me donne 24 heures pour y réfléchir. Et souvent, le lendemain, l’envie est passée. Je me rends compte que ce n’était qu’un coup de tête. Et ça me permet d’éviter pas mal d’achats inutiles. Étais-je le seul à être confus par ça ?

Investissements hasardeux : jouer avec le feu

Et puis, il y a les investissements hasardeux. Les placements trop beaux pour être vrais, les promesses de gains rapides et faciles… C’est un peu comme jouer au casino : on peut gagner gros, mais on a beaucoup plus de chances de perdre. Et moi, j’ai déjà joué avec le feu, et je me suis brûlé.

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Je me souviens d’une fois, c’était il y a quelques années. Un ami m’avait parlé d’une entreprise qui proposait des placements avec des rendements incroyables. Il me disait : “C’est le bon plan du siècle ! Tu vas devenir riche en un rien de temps !” Et moi, comme un idiot, je l’ai cru. J’ai investi une somme importante dans cette entreprise. Et quelques mois plus tard, l’entreprise a fait faillite. J’ai tout perdu.

C’est une leçon que j’ai apprise à mes dépens. Il faut toujours se méfier des promesses de gains faciles. Et il faut toujours faire ses propres recherches avant d’investir dans quoi que ce soit. Ne jamais se fier uniquement à l’avis des autres. Et surtout, ne jamais investir de l’argent qu’on ne peut pas se permettre de perdre. Je suis resté éveillé jusqu’à 2 h du matin à lire sur Bitcoin sur Coinbase, et franchement, j’ai failli tout perdre.

Alors, maintenant, avant d’investir, je me renseigne, je me documente, je compare les différentes options. Je me fais conseiller par des professionnels. Et je n’investis que dans des placements que je comprends. C’est peut-être moins excitant que de jouer au casino, mais c’est beaucoup plus sûr. Et c’est ça qui compte. J’ai complètement raté en vendant trop tôt en 2023, mais bon… on apprend !

La procrastination financière : remettre à demain ce qu’on peut faire aujourd’hui

Enfin, il y a la procrastination financière. Le fait de remettre à demain ce qu’on peut faire aujourd’hui. Le fait de ne pas s’occuper de ses finances, de repousser les échéances, de ne pas prendre de décisions importantes. C’est un peu comme remettre le ménage à plus tard : on se dit qu’on aura le temps de s’en occuper plus tard, mais au final, la situation s’aggrave et on se retrouve submergé par le bazar.

Moi, j’ai longtemps procrastiné en matière de finances. Je repoussais toujours le moment de faire mes comptes, de vérifier mes relevés bancaires, de renégocier mes contrats d’assurance. Je me disais : “Je n’ai pas le temps”, ou “Ce n’est pas le moment”. Mais en réalité, c’était juste une façon d’éviter de me confronter à la réalité. J’avais peur de découvrir que ma situation financière était moins bonne que ce que j’imaginais.

Alors, ce que j’ai fait, c’est que j’ai décidé de me fixer des objectifs clairs et réalisables. Par exemple, je me suis dit : “Je vais consacrer une heure par semaine à la gestion de mes finances”. Et pendant cette heure, je fais tout ce que j’ai à faire : je vérifie mes comptes, je paie mes factures, je compare les offres d’assurance, etc. Et ça m’a permis de reprendre le contrôle de mes finances, petit à petit.

Le truc, c’est de ne pas se laisser submerger par la tâche. Il faut commencer petit, se fixer des objectifs simples, et progresser étape par étape. Et surtout, il faut se rappeler que la gestion de ses finances, ce n’est pas une corvée, mais un investissement pour l’avenir. Alors, n’attends plus, et prends tes finances en main dès aujourd’hui !

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