Sốc! U30 Tay Trắng Vẫn Có Nhà Sài Gòn : Le Guide Inattendu pour les Fauché(e)s Millionnaires (en Devenir !)
Salut la compagnie ! Alors, accrochez-vous bien, parce que je vais vous raconter un truc de dingue. Vous voyez, moi, la trentaine passée (et pas de beaucoup, hein !), j’ai toujours cru que posséder un appart’ à Saigon, c’était un truc réservé aux expats blindés ou aux héritiers. Que dalle ! Figurez-vous qu’il y a des solutions, des astuces, des petits secrets bien gardés pour devenir proprio même quand on a l’impression de partir de zéro. Et je vais tout vous balancer, promis.
C’est un peu comme quand tu découvres que le Père Noël existe (enfin… vous voyez l’idée !). Un choc, une révélation ! J’étais tellement persuadée que c’était hors de portée, que je n’avais même pas cherché à comprendre. Quelle erreur !
Alors, si toi aussi tu rêves de ton chez-toi à Saigon, mais que ton banquier te regarde avec des yeux ronds quand tu évoques l’idée, reste avec moi. On va décortiquer tout ça ensemble. Accrochez-vous, ça va secouer !
L’illusion du “Tay Trắng” : On Part Tous de Quelque Part
“Tay Trắng”. Mains vides. C’est l’expression vietnamienne qui m’a fait tilter. On se dit souvent qu’on part de rien, qu’on n’a rien. Mais est-ce vraiment le cas ? Franchement, je crois pas.
Déjà, il y a l’éducation, l’expérience professionnelle, le réseau… Tout ça, c’est du capital ! Et puis, il y a notre capacité à apprendre, à s’adapter, à bosser dur. C’est pas rien, ça !
Moi, par exemple, je me disais “pfff, je n’ai rien à part mon petit salaire”. Et puis, j’ai commencé à regarder mes dépenses. Franchement, j’étais choquée ! Combien d’argent gaspillé dans des trucs inutiles : des cafés à emporter, des restos trop chers, des abonnements que je n’utilisais même pas… Une horreur !
Alors, on part peut-être pas avec des millions sur notre compte en banque, mais on a tous des atouts, des ressources. Le tout, c’est de les identifier et de les utiliser à bon escient.
Le déclic : Mon Erreur (et Comment l’Éviter)
Je me souviens d’une conversation avec un ami. Il avait investi dans des cryptos, un peu au hasard, il faut le dire. Et il avait fait une plus-value incroyable. Moi, j’étais sceptique. “C’est trop risqué”, je me disais. J’ai complètement raté le coche, tu vois.
Plus tard, je me suis penchée sur le sujet. J’ai passé des nuits entières à lire des articles, à regarder des vidéos. Au final, j’ai compris que le risque, il était surtout de ne rien faire. De rester dans sa zone de confort, à attendre que le miracle se produise.
Alors, oui, les cryptos, c’est volatile. Mais il existe d’autres options : l’immobilier, les actions, les obligations… Le plus important, c’est de se renseigner, de comprendre les mécanismes, et de ne pas avoir peur de prendre des risques calculés.
J’ai tellement regretté mon inaction de 2020… Tellement. J’aurais pu avoir un apport conséquent pour mon futur chez-moi. Pff, quel bazar !
Les Secrets des Fauché(e)s qui Réussissent (à Saigon !)
Alors, quels sont ces fameux secrets ? Je ne vais pas vous mentir, il n’y a pas de formule magique. Mais il y a des principes de base à connaître et à appliquer.
- Épargner, épargner, épargner ! C’est la base. Mettez de côté un pourcentage de votre salaire chaque mois, même si c’est peu. Le truc, c’est de se créer une habitude. Personnellement, j’utilise une application de budget (Bankin’, pour ne pas la citer) qui me permet de suivre mes dépenses et de voir où je peux économiser. C’est bluffant !
- Investir intelligemment. Ne mettez pas tous vos œufs dans le même panier. Diversifiez vos placements. Renseignez-vous sur les différentes options disponibles. Et surtout, ne vous laissez pas influencer par les “conseils” de votre cousin qui a fait fortune en vendant des tongs sur la plage. Faites vos propres recherches !
- Négocier comme un pro. Que ce soit pour votre loyer, votre salaire, ou le prix d’un meuble, n’ayez pas peur de négocier. Les Vietnamiens sont des maîtres en la matière. Apprenez de leurs techniques ! Le truc marrant, c’est que j’ai commencé à négocier même le prix des fruits au marché !
- Développer ses compétences. Plus vous avez de compétences, plus vous êtes “bankable”. Formez-vous, apprenez de nouvelles langues, développez votre réseau… Investissez en vous ! J’ai suivi une formation en marketing digital et ça a complètement changé ma carrière.
- Rester motivé. Acheter un appartement à Saigon, c’est un marathon, pas un sprint. Il y aura des hauts et des bas. Des moments de doute. Des galères administratives. Mais il faut tenir bon. Visualisez votre objectif, entourez-vous de personnes positives, et n’oubliez pas pourquoi vous vous êtes lancé dans cette aventure.
Mon Anecdote : La Galère du Premier Rendez-Vous à la Banque
Je me souviens de mon premier rendez-vous à la banque. J’étais tellement stressée ! J’avais préparé un dossier de compétition, avec tous mes relevés bancaires, mes justificatifs de revenus, etc. Et là, le banquier me regarde et me dit : “Votre dossier est bien, mais vous n’avez pas d’apport personnel”.
Le coup de massue ! J’étais tellement déçue. J’avais l’impression d’avoir tout fait pour rien. Et puis, j’ai réalisé que ce n’était pas une fin en soi. Que je pouvais encore améliorer ma situation. Que je pouvais épargner plus, investir mieux, et revenir le voir dans quelques mois.
Alors, ne vous découragez pas si vous rencontrez des obstacles. C’est normal. L’important, c’est de persévérer.
Sài Gòn “Real Estate” : Décrypter le Marché Immobilier Local
Le marché immobilier à Saigon, c’est un peu comme une jungle. Il y a des opportunités à saisir, mais aussi des pièges à éviter. Il faut connaître les codes, les règles du jeu.
Déjà, il faut savoir que les prix varient énormément d’un quartier à l’autre. Les districts 1 et 3 sont les plus chers, évidemment. Mais il y a des quartiers plus abordables, comme le district 7, le district 2 (partie Thao Dien) ou encore Binh Thanh. Le truc, c’est de trouver le bon compromis entre le prix, l’emplacement, et la qualité du bien.
Ensuite, il faut faire attention aux arnaques. Il y a des promoteurs peu scrupuleux qui vendent des appartements sur plan qui ne seront jamais construits. Ou qui construisent des immeubles de mauvaise qualité. Renseignez-vous sur la réputation du promoteur avant de vous engager. Demandez conseil à des experts. Ne signez rien sans avoir lu attentivement le contrat.
Et enfin, il faut être patient. Trouver le bon appartement, ça prend du temps. Il faut visiter des dizaines de biens, comparer les offres, négocier les prix. Mais ça vaut le coup, croyez-moi.
Les Astuces “Insider” pour Dénicher la Bonne Affaire
Comment trouver la perle rare ? Voici quelques astuces que j’ai glanées auprès de mes amis vietnamiens :
- Éplucher les annonces en vietnamien. Les meilleures affaires sont souvent publiées sur des sites locaux, en vietnamien. Si vous ne parlez pas la langue, faites-vous aider par un ami.
- Se rendre sur place. N’hésitez pas à vous promener dans les quartiers qui vous intéressent, à parler aux habitants, à vous renseigner sur les projets immobiliers en cours.
- Faire appel à un agent immobilier local. Un bon agent immobilier peut vous faire gagner un temps précieux et vous aider à éviter les pièges. Mais choisissez-le avec soin. Demandez des recommandations, vérifiez sa réputation.
- Participer aux ventes aux enchères. C’est un moyen d’acquérir un bien à un prix intéressant. Mais attention, il faut être bien préparé et ne pas se laisser emporter par l’ambiance.
Financement Créatif : Penser en Dehors de la Boîte
Si vous n’avez pas un gros apport personnel, il existe des solutions de financement alternatives.
- Le prêt familial. Si vous avez la chance d’avoir des parents ou des amis qui peuvent vous aider, n’hésitez pas à leur demander un prêt. Établissez un contrat clair, avec des modalités de remboursement précises.
- Le crowdfunding immobilier. C’est une forme de financement participatif qui consiste à collecter des fonds auprès d’un grand nombre de personnes pour financer un projet immobilier.
- Le “rent-to-own”. C’est un contrat de location avec option d’achat. Vous louez le bien pendant une certaine période, puis vous avez la possibilité de l’acheter à un prix convenu à l’avance.
- Les aides gouvernementales. Renseignez-vous sur les aides financières proposées par l’État vietnamien pour l’accession à la propriété.
Franchement, il faut vraiment se creuser la tête. Et ne pas avoir peur de demander de l’aide. Je suis restée éveillée jusqu’à 2h du matin à éplucher les sites internet, à contacter des courtiers… C’était épuisant, mais ça a payé !
La Mentalité du “Nhà Sài Gòn” : Un état d’esprit avant tout
Au-delà des astuces financières et des techniques de négociation, il y a un état d’esprit à adopter pour réussir à acheter un appartement à Saigon quand on est “tay trắng”.
Il faut être persévérant, déterminé, et ne jamais abandonner son rêve. Il faut être prêt à faire des sacrifices, à se remettre en question, à apprendre de ses erreurs. Il faut être ouvert d’esprit, curieux, et ne pas avoir peur de sortir de sa zone de confort.
Et surtout, il faut croire en soi. Croire que c’est possible. Croire qu’on peut y arriver.
Wow, je ne m’attendais pas à ça ! J’ai l’impression d’avoir vidé mon sac. J’espère que ces conseils vous seront utiles. Et n’oubliez pas : si moi, j’ai pu le faire, vous aussi vous le pouvez !
Alors, prêt(e) à devenir proprio à Saigon ?
Si tu es aussi curieux que moi, tu pourrais vouloir explorer le marché immobilier dans d’autres villes du Vietnam. Qui sait ce qui va suivre ?